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Florence Gabay, profiling d'une future femme engagée dans les législatives

Alors que tous s'intéressent aux présidentielles, fixons l'avenir d'une future députée, Florence Gabay.

Vous vous présentez comme candidate, que voulez vous changer pour vos concitoyens?

Avant toute chose, je veux être utile aux autres et pour mon pays. C’est le sens de ma démarche et la raison pour laquelle je me présente comme candidate aux élections législatives dans le 15e arrondissement de Paris. Je ne suis pas une femme politique, j’ai une autre carrière à côté et une vie de femme et de mère de famille. En tant que canidate de la société civile, j’aimerais contribuer à renouveler la représentation nationale. Les députés représentent le peuple français, dans toute sa diversité, et j’estime que dans ce domaine, nous pouvons faire beaucoup mieux.

Pour vous quel est le rôle du Député? En étant femme de la société civile, qu’apporterez-vous en plus?

Je souhaite apporter mon expérience et ma façon de faire, forcément nouvelles, dans cette élection et dans la manière de faire de la politique. J’ai la chance d’exercer plusieurs activités professionnelles en parallèle, notamment au sein de l’Institut Robert Schuman qui un think tank pro-européen et humaniste doté du statut participatif au Conseil de l’Europe, ou auprès de l’agence d’information d’Afrique centrale. Ce double regard sur l’Europe et sur l’Afrique est une richesse et me conforte dans ma volonté d’apporter ma pierre à l’édifice du renouveau pour notre pays, car je sais que le monde nous observe et que de nombreux pays, à commencer par nos voisins européens, attendent beaucoup de la France. Ne les décevons pas et sachons nous montrer à la hauteur de leurs attentes : soyons fiers de notre culture, de nos valeurs, de nos talents mais surtout soyons ambitieux.

Vous avez une vision internationale très marquée ce qui est un plus pour un député?

C’est évidemment très important dans la mesure où le Parlement a à se prononcer sur des sujets de politique étrangère. Naturellement tous les députés ne sont pas familiers de ces sujets, tous ne siègent pas au sein de la commission des affaires étrangères, mais il me paraît essentiel que nous soyions tous en capacité de nous forger une opinion sur ces sujets, en ayant en tête les grands enjeux pour la France aujourd’hui mais aussi notre histoire et les événements qui ont fait ce que notre pays est aujourd’hui : une nation forte et dont la parole est écoutée dans le monde entier.

Pourquoi cette volonté de renouveau de la classe politique? Est ce que le fait que ce ne soit pas votre métier de base ne pose-t- il pas un probleme?

Si certains estiment que la politique est un métier, je pense au contraire qu’une démocratie solide et efficace est une démocratie qui se nourrit de tous les talents de ses citoyens et de toutes les bonnes volontés, mais surtout une démocratie qui sait se renouveler quand c’est nécessaire pour refléter les évolutions et les aspirations d’une société. Chaque citoyen a un rôle à jouer, la démocratie est l’affaire de tous. Je ne sous-estime pas les compétences nécessaires pour endosser cette fonction mais ce que les Français attendent avant tout, ce sont des personnes engagées, qui ont des convictions et des projets pour leurs territoires, et surtout la volonté de les défendre, en toute intégrité.

Dans votre programme un rapport au territoire est un axe important pourquoi?

Chaque député est avant tout un élu de son territoire et ce sont ces territoires qui font la diversité de la France et sa richesse. La France ne peut pas se réformer de façon uniforme, et sans prendre en compte les spécificités de chacun de ces territoires. Elle ne peut le faire non plus sans laisser la liberté à chaque territoire d’inventer ses propres solutions pour créer des richesses, créer des emplois et assurer une cohésion sociale. Repartir des territoires pour refonder notre Pacte social, c’est assumer que les missions qui peuvent être mieux gérées par les acteurs au niveau local ne doivent pas préemptées inutilement par l’Etat. C’est aussi se donner les moyens de baisser les dépenses publiques, dont le poids ne cesse d’augmenter au détriment de la compétitivité de notre économie.

Le travail ne s'arrete jamais avec vous. Vous avez répondu a cette itv en ayant la grippe, en éternuant et en luttant contre un début de fièvre, quid des questions de santé?

Je pense à la désertification du monde médical dans certain de nos territoires ce qui représente une forme d inégalité. C'est un sujet important. La priorité avec l Education c est l égalité devant la possibilité de se faire soigner correctement et dans les temps

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